Hier, dimanche, nous sommes sortis de la ville pour visiter des sites se situant au nord de la ville. Nous commençons donc la journée par un peu de route. Nous arrivons à Changling, un des 13 tombeaux des empereurs de la dynastie Ming (1368-1644), celui de Dhzu Di. La météo n’est pas vraiment de coopérante…

Nous reprenons ensuite la route pour nous retrouver à nouveau dans un petit atelier de transformation du jade; « le jade est très important pour les chinois. Un pays sans jade est un pays pauvre… ». Nous nous remettons en route pour prendre ensuite notre repas dans une immense salle de restaurant. Par chance, à la fin du repas, il est prévu que nous profitions du savoir-faire des fabricants de « cloisonné »…. Ouaiiiiiiis! Après cet intermède culturo-commercial, on se remet en route pour rejoindre Badaling, l’un des sites de la Grande Muraille de Chine.

Comme vous pouvez le constater sur les photos, nous n’avons vu qu’une toute petite murailleke ;), la brume nous empêchant d’apercevoir quoi que ce soit à plus de 100 mètres. Si nous voulons voir la Grande Muraille, nous devrons revenir un jour de beau temps… A nouveau, ici, énormément de monde et de bruit; on se marche dessus…

Donc, au lieu de passer 2 ou 3 heures sur la muraille, on en repart après même pas une heure. La suite de l’après-midi sera donc un peu rock’n brol (oui, je suis fier de cette expression!). La guide et le chauffeur tentent bien un arrêt à proximité d’une autre portion du mur mais la météo n’y étant pas plus clémente, nous déclinons leur invitation à quitter le véhicule pour prendre des clichés.

Retour sur Pékin par les petites routes (il ne faut pas aller trop vite; il n’y a rien de prévu avant 17:15). On passe à proximité de deux sites représentatifs de la villes:

Arrêt culturo-commercial dans une fabrique de porcelaine. Celui-ci est celui de trop: on a une explication avec la guide au sujet de ces trop nombreux arrêts dans des « magasins-ateliers »; ça, c’est fait!

La guide nous propose ensuite d’assister à un spectacle de kung-fu. A priori, on se demande où est l’arnaque mais on accepte tellement elle est enthousiaste… et on ne l’a pas regretté: une mise en scène vraiment géniale pour un spectacle de danse, de percussions… et de kung-fu (ils se cassent des briques sur le ventre et des bois sur la tête, ils font des sauts dans tous les sens et il y a même une grande morale à la fin!).

On termine la journée par un repas typiquement pékinois: le canard laqué. Comme tous nos précédents repas prévus par l’agence, celui-ci était (trop) copieux mais délicieux.

[Désolé pour le retard de la publication; nouveau problème de connexion au blog, hier soir 🙁 ]

• Pékin / Beijing