Xi’An: suite et fin

Nous revenons en ville pour notre visite suivante: la tour de la cloche, point central de la ville, idéal pour se repérer. De là, partent 4 grandes avenues qui passent par les portes se trouvant aux 4 point cardinaux. La fonction de la tour était de marquer le temps, le matin, pour signaler l’ouverture des ponts-levis. Le soir, c’est la tour des tambours, la jumelle voisine, qui annonçait leur fermeture.

La tour de la cloche, au centre de la ville

La tour de la cloche, au centre de la ville

Une cloche que l'on peut encore faire résonner

Une cloche que l'on peut encore faire résonner

La tour des tambours

La tour des tambours

Vue sur les différentes artères qui arrivent sur la tour de la cloche

Vue sur les différentes artères qui arrivent sur la tour de la cloche

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Nous nous rendons ensuite vers le quartier musulman de Xi’An. Pour rappel, la ville a été le point de départ (ou d’arrivée, c’est selon) de la Route de la soie. De ce fait, la communauté de confession musulmane compte maintenant quelque 65000 fidèles à Xi’An (pour environ 18 millions pour la Chine, pour la plupart présents à l’ouest du pays, près des pays musulmans frontaliers).

Evidemment, ici, une mosquée ne ressemble pas à l'image que l'on s'en fait

Evidemment, ici, une mosquée ne ressemble pas à l'image que l'on s'en fait

Elle est plutôt conçue sur le modèle des temples: des pavillons articulés autour de cours successives

Elle est plutôt conçue sur le modèle des temples: des pavillons articulés autour de cours successives

On en profite pour vous présenter Cécile, notre guide

On en profite pour vous présenter Cécile, notre guide

Qu'est-ce? Mais oui, c'est le minaret!

Qu'est-ce? Mais oui, c'est le minaret!

La salle de prière

La salle de prière

La salle de prière

La salle de prière

Ceci clôture donc notre découverte très fructueuse de la ville de Xi’An. Un proverbe chinois (sûrement inventé par un tour opérateur de la ville 😉 ) dit que « si tu voyages en Chine sans passer par Xi’An, tu n’as pas voyagé en Chine« … il y a quand même du vrai dans ces quelques mots…